LISSAC CLASSIC NOIRMOUTIER 2013
Île de NOIRMOUTIER (Vendée)
02-03 août 2013




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Île de Noirmoutier 2 août 2013

Je n'avais encore jamais eu l'occasion d'assister à une régate, en dehors du fameux "défi des goélettes" en 2011 entre la Belle Poule et La Recouvrance. Mais c'était une régate entre deux voiliers et j'en étais l'un des acteurs. C'est donc avec beaucoup de plaisir et de curiosité que j'ai accepté l'invitation presse de l'opticien Lissac pour assister à l'une des régates de la Lissac Classic Noirmoutier. Pour la première fois, j'utilisais mon titre ronflant de Directeur de la Publication du "Grands Voiliers Infos" dans le but de collecter quelques belles images de voiliers classiques tels que Pen Duick, Pen Duick III, Aile VI, ou encore Aria.

La célèbre firme avait bien fait les choses, et les quelques représentants de la presse professionnelle ou nautique que nous étions avons été accueillis avec beaucoup de classe et de gentillesse, les évènements se déroulant dans une superbe ambiance amicale et festive.

Parmi les "petits plus" qui étaient au programme, deux d'entre eux étaient particulièrement passionnants: la visite d'un marais salant, et celle d'un chantier naval, le Chantier des Ileaux que dirige Frédéric Maingret, fondateur de l'entreprise. Je n'ai pas pu emporter mon appareil photo pour la visite du chantier et je le regrette beaucoup, car le travail que réalise ce passionné de vieux gréements classique mérite d'être mis en valeur.

Les conditions météo étaient idéales. Un beau ciel lumineux avec juste ce qu'il faut de nuages, assez de vent pour créer un joli clapot et permettre aux voiliers de prendre une gîte très esthétique.

Pour le profane, la différence entre un Requin et un Dragon n'est pas évidente. Ces deux types de voiliers dont la création remonte aux années 30 sont en effet très proches en profil et en dimensions. Heureusement, le dessin d'un requin ou un D en haut de la voile permettent de faire la différence. Ce sont de toutes façons de magnifiques voiliers de course, aux lignes tendues, d'une maniabilité exceptionnelle, et l'on sent que leurs propriétaires les entretiennent avec passion et amour.

Que dire des Pen Duick? Il a déjà été tellement écrit à leur sujet. Ecrire à nouveau est sans doute superflu, tant leur contemplation suffit à vous transposer dans le monde fantastique d'Eric Tabarly. Mais si la goélette noire est bel et bien le voilier de toutes les victoires, c'est le côtre aurique qui, à mes yeux, reste le plus beau, le plus majestueux.

Confortablement installé sur le pont d'une puissante vedette nous avons pu sous un beau soleil vendéen admirer les évolutions de ces bêtes de course d'une autre époque.

 

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